Découvrez mon parcours bien-être. Massage de relaxation, équilibrage énergétique, sophrologie. Je vous accompagne pour communiquer autour de votre métier.
- Traverser son désert personnel pour toucher le bien-être
- Se former aux techniques de relaxation, mais pas que…
- Installation professionnelle comme praticienne bien-être
- Cultiver le bien-être mental sur le Toit du Monde
- Associer techniques de relaxation et sophrologie
- Une expérience de praticienne bien-être en cabinet
- D’un métier de l’accompagnement vers un autre
Tout chemin de vie est fait d’imprévus. Le bien-être est le premier domaine pour lequel j’ai eu un véritable projet professionnel. Comme je n’avais pas d’idée fixe, j’ai suivi celle qui me mènerait vers les techniques de relaxation.
Exercer un métier de l’accompagnement permet de toujours vous connaître mieux. Être en mesure d’aider autrui à trouver ou retrouver un bien-être, quel bonheur ! Du massage à la sophrologie, des techniques de relaxation à la rédaction et au graphisme, voici un résumé rien que pour vous !

C’est sûrement le cas pour ce petit animal ayant laissé ses traces dans le désert.
Traverser son désert personnel pour toucher le bien-être
2007 : c’est lors d’un concert de Loreena McKennitt qu’avec 2 amies, nous décidons que nous irons dans le désert. L’une d’elle a une démarche bien-être qui passe par des stages de développement personnel. Justement, son « mentor » organise un séjour au Sahara. J’ai mon idée du développement personnel et mes propres techniques de relaxation. Je ne sais pas encore ce qu’entendent par ce terme ses « pratiquants ».
J’ai l’habitude de faire les choses à ma façon sans suivre de codes édictés. Qu’il s’agisse de bien-être, de spiritualité ou d’autre domaine personnel. Je n’adhère pas vraiment à la personnalité ni aux pratiques de ce « mentor » ni à l’état d’esprit du groupe. Cela me permet de garder un certain recul et mon bien-être mental. Cela dit, je participe, à mon niveau, et cette expérience m’apporte beaucoup. Et avec mes 2 amies, nous gardons nos moments de partage en dehors du groupe.
C’est là-bas que je comprends que je peux apporter un bien-être aux personnes qui le cherchent. D’abord, il est essentiel que je me libère de certains blocages, dont j’avais à peine conscience ou que je déniais. Un exercice en groupe amorce cette libération. J’en suis bouleversée et surprise, je reviens enrichie et plus légère. J’ai commencé à m’ancrer. Beaucoup de peurs sont restées dans le désert. Quand vous trouvez un équilibre, vous êtes prêt pour envisager un métier de l’accompagnement.
Se former aux techniques de relaxation, mais pas que…
Il est évident pour moi de m’orienter vers le bien-être. Lors de ma recherche de formation aux techniques de relaxation, l’École de la Métaréflexologie a retenu mon attention. Il faut dire qu’Arlette Lefebvre, sa fondatrice et enseignante, dégage à la fois bienveillance et sérieux. J’ai tellement aimé cette formation! Je ne savais pas que j’allais y découvrir un soin énergétique fascinant : la Polarité.
Avant d’en arriver à cette technique de rééquilibrage énergétique, Arlette nous a enseigné des techniques de massage bien-être telles que :
- le massage ayurvédique
- la relaxation podale (avec une initiation à la réflexologie plantaire)
- la relaxation du visage
- la relaxation globale, qui associe les protocoles du visage, main-bras-épaule, et pied-jambe
J’apprends à écouter avec les mains et avec le cœur. Les liens que je pressens entre corps et esprit se confirment. Sans pour autant tomber dans un extrême où toute manifestation physique devient symbolique. En toute chose trouver l’équilibre. Dans tout métier de l’accompagnement, chaque séance vous apprend quelque chose. Vous apprenez aussi à écouter vos ressentis d’une façon nouvelle.
Cette formation me permet de développer l’ancrage. Elle améliore beaucoup mon bien-être mental. L’année de cette formation, j’intègre un groupe en tant que choriste (je chante sur scène depuis le lycée) et je rencontre 2 musiciens avec qui montons notre groupe. Vous vous demandez ce que cela vient faire dans mon expérience bien-être ? Eh bien, cet ancrage m’a appris à vivre physiquement le chant (j’étais comme « extérieure à moi-même » jusqu’alors) et de développer ma voix. Un rééquilibrage énergétique global.

Installation professionnelle comme praticienne bien-être
Apporter un mieux-être, une détente, aider à relâcher les tensions…et apprendre à écouter. Je prends conscience que j’aime écouter. Je réalise à quel point les techniques de relaxation procurent un bien-être global. Je garde cette approche holistique dans tous les aspects de la vie. Je pratique autant que possible, et une fois certifiée praticienne bien-être, j’interviens d’abord à domicile.
Quelle satisfaction de sentir les tensions se défaire ! Quel émerveillement à chaque pratique de la Polarité. Quel privilège de se sentir la confiance accordée. Être à l’écoute, dans la compassion et sans jugement, apporter un apaisement… Ce sentiment de contribuer au bien-être d’autrui vous porte et vous donne de l’énergie.
Je m’installe dans un appartement dans lequel je peux aménager une pièce dédiée à mon activité bien-être. Comme beaucoup de professionnels qui exercent un métier de l’accompagnement, je comptais sur le bouche-à-oreille. Avec zéro notion de communication et aucune conscience de son importance, difficile de faire parler de son activité ! Donc de la développer.
Pour payer mon loyer, je dois reprendre une activité salariée. Je continue à pratiquer le massage bien-être et les techniques de relaxation en parallèle. Je pratique beaucoup la Polarité d’ailleurs. Cet emploi salarié va aussi me permettre de faire un nouveau voyage qui semblait devoir rester un rêve…Un voyage qui me nourrit encore aujourd’hui.
Cultiver le bien-être mental sur le Toit du Monde
Je pars seule cette fois. Toujours en groupe, car à cette période le voyage individuel est impossible au Tibet. Oui…le Tibet ! Le groupe est très différent de celui du voyage au Sahara. Cela doit tenir à l’organisateur et à sa philosophie, d’une bienveillance et d’une humilité authentiques. Je sens une approche sincère et une relation saine à la spiritualité. Il avait invité les voyageurs à orner leur bagage d’une étiquette identifiable afin de se reconnaitre à l’aéroport s’ils se croisaient.
C’est ainsi que j’ai rencontré G à l’enregistrement des bagages. Nous avons fait connaissance et patienté ensemble. La première réunion du groupe s’est faite à l’aéroport de Shangaï. Une belle énergie offre confiance et bien-être dès le départ. G et moi étions les plus jeunes (30 et 31 ans). Le reste du groupe avait de 45 à 80 ans. Si je me suis fait la remarque le premier jour, la notion d’âge a disparu dès le second. Certains pratiquaient des techniques de relaxation ou la méditation.
Pendant le séjour, notre accompagnateur Éric Grange a proposé des moments de partage, des pratiques de groupe qui appellent la compassion et le non-jugement. Je ressens un bien-être constant tout au long de cette expérience. C’est en revenant du Tibet que je sens que je peux être partout à ma place. Car je suis à ma place à l’intérieur.
La rencontre avec un oracle tibétain m’éclaire sur la voie à suivre. Je reviens du Toit du Monde avec 2 intentions majeures : bienveillance et calme mental. Prête pour la suite !

Associer techniques de relaxation et sophrologie
La sophrologie est venue enrichir ma pratique de façon naturelle. C’était une évidence pour moi de proposer une approche complémentaire. Pour aider au bien-être mental et physique, je me suis formée en partie à distance, en partie en stage auprès de M. Marciszewer (sophrologue depuis plus de 30 ans qui a suivi l’enseignement direct de Krishnamurti). La sophrologie va m’être personnellement très utile puisque je souffre de douleurs chroniques.
Je m’engage dans un métier de l’accompagnement, toujours avec une vision globale. La sophrologie est un véritable couteau suisse, pour se relaxer, gérer diverses problématiques. Quel émerveillement lorsque vous voyez une personne prendre conscience de sa propre respiration ! Souvent, d’autres prises de conscience suivent et mènent à un bien-être qui améliore la qualité de vie globale.
Après un passage dans un centre dédié au haut potentiel intellectuel, une expérience en cabinet pluridisciplinaire s’offre à moi, quelle joie ! Psychologues, orthophoniste, psychomotricienne, rejoignent le cabinet. Je m’investis pleinement dans sa création avec la fondatrice, ancienne collègue de mes 13 ans dans la petite enfance.
Une expérience de praticienne bien-être en cabinet
J’ai eu le privilège d’accompagner individuellement des personnes d’horizons très différents avec des chemins de vie uniques. Tous ont marqué ma pratique, mon esprit et touché mon cœur. Tous cherchaient le bien-être ou une solution à une problématique singulière.
Ce monsieur de 85 ans en début d’Alzheimer qui voulait pouvoir gérer crises d’angoisse et de colère provoquées par la maladie et qui venaient ternir la relation avec son épouse après 60 ans de mariage…Ce petit garçon autiste Asperger…Cette jeune personne en grand mal-être, HPI en quête de son identité…Des états dépressifs sévères…Les préparations à l’accouchement ou à une épreuve sportive…Je pourrais les nommer tous ! Je suis heureuse d’exercer un métier de l’accompagnement.
J’aimais particulièrement les séances individuelles, où les personnes se sentent un instant dans une bulle de bien-être. Les séances de groupes, très différentes, étaient aussi des moments de partages enrichissants. En individuel comme en collectif, tout en restant neutre et sans jugement, ce que vous êtes colore votre accompagnement. Entre collaboratrices, nous conjuguions parfois nos pratiques pour proposer des moments uniques.
Après un peu plus d’un an, l’aventure s’arrête et me laisse avec des difficultés financières. Pour faire court, la fondatrice arrête tout brusquement au bout de six mois. La belle énergie de départ est défaite et les collaboratrices fuient. J’avais repris le bail pour poursuivre les activités mais les locaux se sont vidés sans trouver de nouveaux collaborateurs à temps. Mon bien-être mental était défait lui aussi.

votre activité bien-être ou de la relation d’aide.
D’un métier de l’accompagnement vers un autre
Je dois reprendre mon ancien emploi pour m’en sortir. Je vais au bout des accompagnements en cours en m’organisant au mieux. À cette période je rencontre mon compagnon qui m’apporte beaucoup de soutien moral. Les douleurs chroniques qui avaient pris beaucoup de place pendant plusieurs années s’améliorent un peu. Je remonte la pente et retrouve un bien-être global.
Cela reste difficile pour moi de continuer à travailler en salariat, d’autant qu’un aménagement des horaires m’est refusé. Je choisis de me former en développement web, pour pouvoir travailler de chez moi tout en gérant les crises. L’aspect indépendant, je connais, et c’est ce qui me convient le mieux. Grâce au CPF j’ai pu compléter mes compétences par une formation en graphisme. Tout comme la sophrologie s’est ajoutée au massage bien-être, la rédaction web seo vient compléter le graphisme.
Créer, donner vie à une identité, équilibrer une mise page, harmoniser les couleurs…C’est une autre manière d’accompagner des personnes qui cherchent à exprimer et transmettre qui ils sont. Je suis très enthousiaste à l’idée de vous accompagner, vous qui exercez un métier de l’accompagnement. Et je sais qu’il n’est pas toujours évident de communiquer sur vos pratiques et de leur donner de la visibilité. C’est pour moi une nouvelle façon de participer au bien-être que vous apportez aux personnes que vous accompagnez.
Préservez le bien-être dans votre activité
Que vous pratiquiez le massage bien-être, la sophrologie, l’hypnose ou toute autre technique, je serai ravie de vous accompagner pour valoriser votre activité.
Crédits photos : Aurore Place